La Mode Romantique (1820-1840)
3 participants
Page 1 sur 1
La Mode Romantique (1820-1840)
La Mode Romantique
De 1820 à 1824, la taille commence à redescendre, grâce à l’incrustation d’une ceinture qui allonge un peu le corsage. Cela réintroduit le goût pour taille fine et par conséquent l’usage du corset. L’idéal de la beauté de l’époque triompha, comme cela était souvent la cas en ce qui concerne la mode, du verdict de la médecine. Au début cependant le laçage n’était pas aussi évident et aussi malsain que pendant le rococo. La jupe s’évase légèrement, raidie en bas par des cloques de mousseline, des volants, des bourrelets ou des bouillonnés. Les décolletés pour le jour sont petits, arrondis et garnis de Fraises et, pour le soir, s’allongent en forme ovale. Les manches sont courtes et ballonnées et, quand elles sont longues, une petite manche ballon en recouvre le haut ; la partie collante descend en militaire jusqu’au milieu de la main, après s’être resserrée au poignet sous une petite patte. Les Jockeis, des volants froncés et découpés, apparaissent aux épaules.
1821
1822
1822
1822
1823
Pour sortir, on enfile sur les robes des redingotes qui en épousent les formes, des capes en léger taffetas ouatiné, des spencers ornés de biais gansé, ou bien on s’enveloppe dans des châles cachemire, tissés en Inde ou en France, qui ont la forme de longues écharpes à grande réserve noire ou blanche, encadrée de palmes polychromes.
Les souliers de bal, très légers, sont des escarpins arrondis au bout, sans talon, monté sur de fines semelles de cuir souple. Pour marcher, on les remplace par de petites bottines, lacées sur le côté intérieure de la cheville, en serge de laine ou en fine peau mordorée.
Les sacs à main, quelque peu délaissés sous l’Empire, reparaissent momentanément vers, 1823 sous la forme de conques ou de vases en carton moulé recouvert d’étoffe cloutée ou pailletée. Ils prennent également l’apparence de grandes bourses perlées montées à des fermoirs ciselés suspendus à une chaîne.
De 1825 à 1828 la taille retrouve sa place naturelle. La jupe, froncée autour d’une ceinture incrustée et raccourcie au-dessus de la cheville, s’orne en bas soit de volants plus ou moins hauts, soit de motifs en relief. Les manches courtes, aplaties et circulaires, sont dites en béret. Les robes habillées recouvrent parfois de manches longues transparentes en gaze de soie brochée. Par leur montage, les manches longues prennent une ampleur qu’elles perdent progressivement en descendant sur l’avant-bras.
On aime toujours les spencers, les redingotes ornées de plusieurs pèlerines superposées, les capes avec ou sans capuchon.
La mode des colifichets, qui caractérise toute cette époque, s’affirme grâce aux canezous, petits corsages en mousseline qui se portent sur la robe, et aux mantelets à ture à haute boucle et dont le jockeis s’étalent sur les manches gonflées de la toilette.
1825
1825
1825
1825
1825
1825 et 1826
1826
1827
1827
De 1828 à 1834, la taille, emprisonnée dans un long corset cintré dont les goussets supérieurs forment soutien-gorge, semble s’étrangler encore plus entre d’énormes manches, soutenus par des mancherons de toile, les gigots, et la jupe, considérablement élargie, qu’évasent des jupons ronds coulissés. Partie de l’épaule, l’ampleur de la manche longue ne se resserre qu’au poignet. Celle de la manche courte se partage souvent en deux gros bouillons superposés. Les unes et les autres s’enflent encore de jockeis, qui s’allongent sur elles comme des pèlerines. Le soir, la ligne dénudée du cou se prolonge jusqu’au large décolleté bordé de plis plats et à la naissance des bars. Les emmanchures sont placées très bas. Pendant la journée, le cou se voile de cols, de guimpes, de canezous et d’écharpes, qui connaissent un succès immense. On va jusqu’à porter un bonnet, bouillonné et volanté, sous le vaste chapeau dont les rubans, noués sous le menton, abattent la passe contre les joues, annonçant la réapparition, effective en 1833, de la capote. Redingote et pelisses réchauffent toujours la toilette.
1829
1830
1830
1830
1831
Le sac étant un peu passé de mode, on porte à la main un joli mouchoir ou un éventail souvent brisé, c’est-à-dire fait de lamelles découpées d’ivoire ou d’écaille.
Parapluies et ombrelles s’agrandissent pour mieux abriter les larges manches. Ouverts, ils prennent un profil en accolade, très caractéristique de l’époque.
1832
1832
1832
1834
De 1835 à 1839, la jupe s’allonge de nouveau et s’orne parfois en bas d’un volant en biais. Les manches, plaquées autour du haut du bras par des séries de fronces, voient leur ampleur descendre autour du coude pour se resserrer finalement au poignet. Les tissus employés, soir brochée, damas, cotonnades et lainages imprimés, se suffisant à eux-mêmes, les garnitures sont peu nombreuses en dehors des colifichets de mousseline brodée, toujours portés en abondance.
Dehors, on voit des pelisses à grandes manches fendues tombant du coude, comme au XVème siècle, car c’est maintenant le Moyen Age qui sert de référence. Grâce aux châles cachemire, dont les dimensions augmentent, les fabricants parisiens remportent des prix aux expositions des produits de l’industrie en 1834 et 1839.
1836
A Londres, la société élégante de 1820 se rassemblait à Bond Street. L’atmosphère là-bas est fascinante, à la lecture : « Là, la société la plus choisie va et vient toute la journée et jusqu'au soir, et tout en se promenant, se critique malicieusement avec des traits d’esprit étincelants. Contrairement aux gens ordinaires, qui changent leur garde-robe avec les saisons, ces élégantes personnes apparaissent avec de nouvelles toilettes toutes les heures, offrant aux yeux du monde les dernières créations de la haute couture du royaume. Pour pouvoir le faire, ils payent joyeusement deux à trois fois le prix »
1822
1822
1822
1823
Pour sortir, on enfile sur les robes des redingotes qui en épousent les formes, des capes en léger taffetas ouatiné, des spencers ornés de biais gansé, ou bien on s’enveloppe dans des châles cachemire, tissés en Inde ou en France, qui ont la forme de longues écharpes à grande réserve noire ou blanche, encadrée de palmes polychromes.
Les souliers de bal, très légers, sont des escarpins arrondis au bout, sans talon, monté sur de fines semelles de cuir souple. Pour marcher, on les remplace par de petites bottines, lacées sur le côté intérieure de la cheville, en serge de laine ou en fine peau mordorée.
Les sacs à main, quelque peu délaissés sous l’Empire, reparaissent momentanément vers, 1823 sous la forme de conques ou de vases en carton moulé recouvert d’étoffe cloutée ou pailletée. Ils prennent également l’apparence de grandes bourses perlées montées à des fermoirs ciselés suspendus à une chaîne.
De 1825 à 1828 la taille retrouve sa place naturelle. La jupe, froncée autour d’une ceinture incrustée et raccourcie au-dessus de la cheville, s’orne en bas soit de volants plus ou moins hauts, soit de motifs en relief. Les manches courtes, aplaties et circulaires, sont dites en béret. Les robes habillées recouvrent parfois de manches longues transparentes en gaze de soie brochée. Par leur montage, les manches longues prennent une ampleur qu’elles perdent progressivement en descendant sur l’avant-bras.
On aime toujours les spencers, les redingotes ornées de plusieurs pèlerines superposées, les capes avec ou sans capuchon.
La mode des colifichets, qui caractérise toute cette époque, s’affirme grâce aux canezous, petits corsages en mousseline qui se portent sur la robe, et aux mantelets à ture à haute boucle et dont le jockeis s’étalent sur les manches gonflées de la toilette.
1825
1825
1825
1825
1825
1825 et 1826
1826
1827
1827
De 1828 à 1834, la taille, emprisonnée dans un long corset cintré dont les goussets supérieurs forment soutien-gorge, semble s’étrangler encore plus entre d’énormes manches, soutenus par des mancherons de toile, les gigots, et la jupe, considérablement élargie, qu’évasent des jupons ronds coulissés. Partie de l’épaule, l’ampleur de la manche longue ne se resserre qu’au poignet. Celle de la manche courte se partage souvent en deux gros bouillons superposés. Les unes et les autres s’enflent encore de jockeis, qui s’allongent sur elles comme des pèlerines. Le soir, la ligne dénudée du cou se prolonge jusqu’au large décolleté bordé de plis plats et à la naissance des bars. Les emmanchures sont placées très bas. Pendant la journée, le cou se voile de cols, de guimpes, de canezous et d’écharpes, qui connaissent un succès immense. On va jusqu’à porter un bonnet, bouillonné et volanté, sous le vaste chapeau dont les rubans, noués sous le menton, abattent la passe contre les joues, annonçant la réapparition, effective en 1833, de la capote. Redingote et pelisses réchauffent toujours la toilette.
1829
1830
1830
1830
1831
Le sac étant un peu passé de mode, on porte à la main un joli mouchoir ou un éventail souvent brisé, c’est-à-dire fait de lamelles découpées d’ivoire ou d’écaille.
Parapluies et ombrelles s’agrandissent pour mieux abriter les larges manches. Ouverts, ils prennent un profil en accolade, très caractéristique de l’époque.
1832
1832
1832
1834
De 1835 à 1839, la jupe s’allonge de nouveau et s’orne parfois en bas d’un volant en biais. Les manches, plaquées autour du haut du bras par des séries de fronces, voient leur ampleur descendre autour du coude pour se resserrer finalement au poignet. Les tissus employés, soir brochée, damas, cotonnades et lainages imprimés, se suffisant à eux-mêmes, les garnitures sont peu nombreuses en dehors des colifichets de mousseline brodée, toujours portés en abondance.
Dehors, on voit des pelisses à grandes manches fendues tombant du coude, comme au XVème siècle, car c’est maintenant le Moyen Age qui sert de référence. Grâce aux châles cachemire, dont les dimensions augmentent, les fabricants parisiens remportent des prix aux expositions des produits de l’industrie en 1834 et 1839.
1836
A Londres, la société élégante de 1820 se rassemblait à Bond Street. L’atmosphère là-bas est fascinante, à la lecture : « Là, la société la plus choisie va et vient toute la journée et jusqu'au soir, et tout en se promenant, se critique malicieusement avec des traits d’esprit étincelants. Contrairement aux gens ordinaires, qui changent leur garde-robe avec les saisons, ces élégantes personnes apparaissent avec de nouvelles toilettes toutes les heures, offrant aux yeux du monde les dernières créations de la haute couture du royaume. Pour pouvoir le faire, ils payent joyeusement deux à trois fois le prix »
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Un article vraiment très intéressant !
Et les images sont splendides ! Cette mode me fait vraiment rêver ...
Je crois avec deux ou trois illustrations dans mes dossiers, j'essayerai de les mettre bientôt !
Encore merci d'avoir eu l'idée de cette rubrique vraiment intéressante !
Et les images sont splendides ! Cette mode me fait vraiment rêver ...
Je crois avec deux ou trois illustrations dans mes dossiers, j'essayerai de les mettre bientôt !
Encore merci d'avoir eu l'idée de cette rubrique vraiment intéressante !
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
J'ai hâte de voir tes illustrations ! Qu'est-ce-que j'aime ça !
Merci à toi de m'avoir permis de la mettre sur ton forum !
J'aurais tellement aimé vivre à cette époque et porté ces genres de robes... j'essaye d'en faire la collection petit à petit je commence à avoir un vrai stocke de robe, chaussure, dessous.. datant de 1800, ma plus vieille robe c'est 1769, j'essaye d'en trouver d'autre encore plus vieille mais c'est assez difficile et généralement les prix sont exorbitant !
Merci à toi de m'avoir permis de la mettre sur ton forum !
J'aurais tellement aimé vivre à cette époque et porté ces genres de robes... j'essaye d'en faire la collection petit à petit je commence à avoir un vrai stocke de robe, chaussure, dessous.. datant de 1800, ma plus vieille robe c'est 1769, j'essaye d'en trouver d'autre encore plus vieille mais c'est assez difficile et généralement les prix sont exorbitant !
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
C'est génial comme collection !
Par curiosité ... c'est à peu près combien une paire de chaussures datant 1800 ?! Et où trouves-tu toutes ces merveilles ?
Par curiosité ... c'est à peu près combien une paire de chaussures datant 1800 ?! Et où trouves-tu toutes ces merveilles ?
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Alors tout dépend de l'année c'est plutôt des chaussures sous l'Empire (1804-1815) ou bien les bottines époque Edwardienne ou encore pendant le second empire... si tu me dis exactement je pourrais te répondre exactement lol
Ou sinon je fais énormément de vide grenier, je vais dans les boutiques d'antiquités, après comme mon arrière arrière arrière arrière grand-mère était vicomtesse j'ai la moitié de ses robes, chaussures, dessous, corsets etc...
Je fouille aussi sur les sites, je vais te donner une adresse ou tu peux acheter des robes et chaussures, bon parfois c'est chère mais tu peux y trouver de véritable trésor et parfois à des prix très bas pour ce que c'est ! Victoriana ma dernière acquisition sur ce site c'est une robe de marié datant de 1909 (style Titanic) Magnifique toute en dentelle enfin une pure merveille je l'ai eu a 80 euros !
Ou sinon je fais énormément de vide grenier, je vais dans les boutiques d'antiquités, après comme mon arrière arrière arrière arrière grand-mère était vicomtesse j'ai la moitié de ses robes, chaussures, dessous, corsets etc...
Je fouille aussi sur les sites, je vais te donner une adresse ou tu peux acheter des robes et chaussures, bon parfois c'est chère mais tu peux y trouver de véritable trésor et parfois à des prix très bas pour ce que c'est ! Victoriana ma dernière acquisition sur ce site c'est une robe de marié datant de 1909 (style Titanic) Magnifique toute en dentelle enfin une pure merveille je l'ai eu a 80 euros !
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Oh. Mon. Dieu. Ce site est merveilleux ! Merci beaucoup pour le lien ! :<3:
Ta robe de marié doit être superbe ! As-tu des photos ?
Pour les chaussures plutôt pendant le second empire ... ?
Ta robe de marié doit être superbe ! As-tu des photos ?
Pour les chaussures plutôt pendant le second empire ... ?
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Contente qu'il te plaise c'est une vrai mine d'or !
Oui ! Il faut que je retrouve ma clé USB est je mets les photos ;)
Alors ça serait plutôt bottine en cuir ou en étoffe tu dois bien compter 100 à 200 euros si elles sont en bon état et je ne pense pas que tu puisses les mettre si par exemple le cuir s'écaille.., tu peux en trouver beaucoup moins chère mais elles ne seront pas dans un très bon état. Après si tu veux plus des souliers (escarpins avec petit talons qu'elles portaient le soir) ça coutera moins de 100 euros à part si elles sont dans un état impeccable... mais là je te parle du site que je t'ai donné quand tu vas dans les magasins d'antiquités tu montes très vite vers les 250-300 euros..
Oui ! Il faut que je retrouve ma clé USB est je mets les photos ;)
Alors ça serait plutôt bottine en cuir ou en étoffe tu dois bien compter 100 à 200 euros si elles sont en bon état et je ne pense pas que tu puisses les mettre si par exemple le cuir s'écaille.., tu peux en trouver beaucoup moins chère mais elles ne seront pas dans un très bon état. Après si tu veux plus des souliers (escarpins avec petit talons qu'elles portaient le soir) ça coutera moins de 100 euros à part si elles sont dans un état impeccable... mais là je te parle du site que je t'ai donné quand tu vas dans les magasins d'antiquités tu montes très vite vers les 250-300 euros..
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Merci pour ces renseignements. Ce sont les bottines qui me font le plus craquer ... ! :)
Et j'imagine que les pièces que tu as acheté sont des pièces de collection et que tu ne les as jamais portées ?
Et j'imagine que les pièces que tu as acheté sont des pièces de collection et que tu ne les as jamais portées ?
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Je suis tout a fait d'accord avec toi ces chaussures sont magnifique mais maintenant c'est assez compliqué de pouvoir les mettre parce que a ne va pas avec tout...
Alors oui et non les crinolines à ma grand-mère non je ne les portes pas ni ses robes à tournure.. par contre parfois je mets un corsage puisque certaines crinolines sont faite en deux parties, je porte aussi parfois des redingotes, ou des chemisiers à manche gigot, en dentelle façon Edwardienne enfin je me débrouille toujours pour que j'ai quelque chose de vieux sur moi.
Mais c'est sur que quand on achète une robe c'est difficile de se dire qu'il va falloir la couper pour en faire un haut que je pourrais mettre touts les jours...donc généralement je ne les touche pas...
Alors oui et non les crinolines à ma grand-mère non je ne les portes pas ni ses robes à tournure.. par contre parfois je mets un corsage puisque certaines crinolines sont faite en deux parties, je porte aussi parfois des redingotes, ou des chemisiers à manche gigot, en dentelle façon Edwardienne enfin je me débrouille toujours pour que j'ai quelque chose de vieux sur moi.
Mais c'est sur que quand on achète une robe c'est difficile de se dire qu'il va falloir la couper pour en faire un haut que je pourrais mettre touts les jours...donc généralement je ne les touche pas...
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Oui je comprends; je n'arriverais pas à découper des vêtements aussi beaux !
En tout cas, je te remercie d'avoir pris le temps de répondre à toutes mes questions !
Et n'hésite pas de nous montrer tes derniers achats !
En tout cas, je te remercie d'avoir pris le temps de répondre à toutes mes questions !
Et n'hésite pas de nous montrer tes derniers achats !
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
C'est avec plaisir
Pas de problème demain je cherche ma clé usb ;)
Pas de problème demain je cherche ma clé usb ;)
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Eh bien ce forum va devenir ma bible je sens ! Parce qu'étant donné que j'aimerais devenir costumière, ces renseignements me sont très précieux ! Merci beaucoup !
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Non c'est vrai ???
Moi aussi enfin j'hésite c'est vraiment quelque chose qui me passionne les vêtements d'en temps
Moi aussi enfin j'hésite c'est vraiment quelque chose qui me passionne les vêtements d'en temps
Re: La Mode Romantique (1820-1840)
Oui. Moi aussi, et j'adore coudre. Et plus je vois des films d'époques, plus j'ai envie de le devenir pour pouvoir m'en faire. :<3:
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|